ma Mère en Communiante
au choix dans ce blog :
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français,breton la liste sera mise à jour au fur et à mesure

bonne lecture Marie

vendredi 30 janvier 2015

suite bénitiers





bénitiers en porcelaine de paris







Bénitiers en biscuit







bénitier venant de mes grands parents 


Sacré Coeur De Jésus montmartre

ces reliquaires m'ont porté bonheur car j ai fait connaissance de Danielle qui habite la Niévre et nous sommes devenues amies
                     



 Reliquaire coeur sacre de Jésus
Cadre Ovale Verre Bombé
Tissu et Laiton repoussé
Epoque 19eme

Le Sacré-Cœur est une dévotion au Cœur de Jésus-Christ, en tant que symbole de l'amour divin par lequel le fils de Dieu a pris la nature humaine et a donné sa vie pour les hommes.

Anonyme 14 janvier 2015 07:09
Que Son Amour vous garde et que Sa Sainte Lumière vous guide toujours !


les missels de marie 15 janvier 2015 06:16
merçi de votre message je vous souhaite du fond du coeur de vivre une sainte année de paix de bonheur et d'amour
au plaisir

mercredi 28 janvier 2015

Sacré Coeur De Jésus et Sainte Marguerite Marie alacoque




L'extension de cette dévotion dans l'Église catholique romaine à partir du XVIIe siècle provient des révélations d'une religieuse visitandine catholique du couvent de Paray-le-Monial en Bourgogne, Marguerite-Marie Alacoque, qui a affirmé l'avoir reçue du Christ lui-même lors de différentes apparitions entre 1673 et 1675[2], et, plus tard, à partir du XIXe siècle, provient des révélations d'une autre religieuse supérieure catholique du couvent de la Congrégation du Bon Pasteur de Porto, en Portugal, Marie du Divin Cœur, comtesse Droste zu Vischering, qui a demandé, au nom du Christ lui-même, au pape Léon XIII qu'il consacre le monde entier au Sacré-Cœur de Jésus.


 La tradition catholique a toujours associé le Sacré-Cœur avec les Actes de Réparation dédiés au Christ. Dans son encyclique Miserentissimus Redemptor, Pie XI a indiqué : « l'esprit d'expiation ou de réparation a toujours tenu le premier et principal rôle dans le culte rendu au Sacré-Cœur de Jésus ». La Dévotion au Sacré-Cœur est parfois pratiquée au sein des Églises orthodoxes, où elle reste un point de controverse, car perçue comme étant un exemple de latinisation liturgique.

 Le Sacré-Cœur est souvent représenté, dans l'art chrétien, sous la forme d'un cœur enflammé brillant d'une lumière divine, saignant car ayant été percé par la lance du soldat romain Longinus, entouré d'une couronne d'épines et surmonté d'une petite croix. Parfois, le cœur est centré sur le corps du Christ, avec ses mains transpercées dirigées vers lui, comme s'il allait l'offrir à la personne qui se tient devant lui. Les blessures et la couronne d'épines font allusion aux conditions de la mort de Jésus-Christ, alors que le feu symbolise le pouvoir transformateur de l'amour.

cliquez sur les photos pour les voir en grand







 









Née dans le Charolais un 22 juillet, Marguerite-Marie était la cinquième des sept enfants de Claude Alacoque, un notaire royal, et de Philiberte. Son père mourut alors qu'elle n'avait que huit ans. Elle fut envoyée à l'école des clarisses de Charolles, où elle fit sa première communion. Mais, après deux ans d'école, elle fut obligée de partir en raison de sa mauvaise santé. Entre dix et quinze ans, elle fut clouée au lit par des rhumatismes articulaires. Même après sa guérison partielle, elle restera faible et dépendante de sa mère et de sa famille. C'est durant ces années que sa dévotion au Saint Sacrement, sa nature contemplative et sa conception spirituelle de la souffrance se développèrent. Dès l'âge de vingt ans, elle commença à avoir des visions du Christ.

LES VISIONS

Marguerite rejeta très vite l'éventualité d'un mariage et entra en 1671 dans l'ordre de la Visitation à Paray-le-Monial. Elle fut pendant un an, avant de devenir religieuse, une novice maladroite mais sympathique. Durant les trois années qui suivirent, elle eut ses plus célèbres visions on raconte que le Christ lui ordonna de promouvoir la dévotion au Sacré Coeur, de consacrer un jour de fête en son honneur et d'instituer la pratique pieuse de "l'Heure Sainte ".

Mais les efforts de Marguerite se heurtèrent à l'incrédulité et au refus de sa supérieure, la mère de Saumaise. Même quand elle eut réussi à convaincre sa communauté, il resta une forte opposition des théologiens et de certaines de ses consoeurs.

Leur manque de compréhension n'était pas sans raisons beaucoup eurent du mal à accepter l'attitude de Marguerite qui les informa que le Christ lui avait demandé, par deux fois, d'être la victime expiatoire de leurs imperfections. Le confesseur jésuite du couvent, Claude La Colombière, fit largement connaître et accepter ses visions.

Elle ne bénéficia de l'appui total de la communauté qu'en 1653, quand la mère Melin, devenue supérieure, nomma Marguerite assistante puis, plus tard, maîtresse des novices. En 1686, le couvent commença à célébrer la fête du Sacré Coeur et, deux ans plus tard, une chapelle fut construite en son honneur à Paray-le-Monial. Ce culte se répandit rapidement dans les autres maisons de l'ordre de la Visitation.

Marguerite mourut au couvent le 17 octobre et, en 1765, le pape Clément XIII approuva officiellement la dévotion au Sacré Coeur. Elle fut béatifiée en 1864 et canonisée par le pape Benoît XV en 1920.

Fête: le 17 octobre



cathéchismes anciens

À l'origine, le catéchisme était destiné à l'enseignement des enfants. De nos jours dans l'Église catholique, le terme est encore souvent associé à l'éducation religieuse des enfants, même si le mot est impropre, « catéchèse » étant le terme employé par les textes officiels de l'Église. En toute rigueur, le catéchisme désigne un résumé de la doctrine chrétienne, alors que la catéchèse, qui a un sens beaucoup plus global, désigne l'éducation de la foi que l'Église propose à tout âge.

Le catéchisme donne une compréhension plus profonde des doctrines et mystères du christianisme. En particulier, il éclaire le fidèle sur le mystère trinitaire, la divinité et l'humanité du Christ, la présence réelle dans le Saint-Sacrement, le credo, les conciles, la doctrine sociale de l'Église, le plan de salut, l'amour de Dieu, la Rédemption, l'Assomption de Marie, la création du monde, la parole évangélique, la morale chrétienne, le pardon, etc.

1554, Catéchisme de Canisius : en latin, destiné aux étudiants ; version en allemand destinée au peuple et aux enfants1.
1566, Catéchisme romain dit aussi « du Concile de Trente », à destination du clergé en vue d'éduquer le peuple. La préface de Charles Borromée est un vrai traité de catéchèse.
1597, Catéchisme de Bellarmin, en latin ou abrégé de la doctrine chrétienne.
1601, le même, traduit en français par saint François de Sales, le premier catéchisme en français.
2e moitié du xviie siècle, catéchisme de Bossuet.
1806, Catéchisme national français, dit « impérial » car rédigé sous le contrôle de Napoléon.
1904, Acerbo nimis, encyclique de Pie X sur l'enseignement de la doctrine chrétienne.
1906, Catéchisme de saint Pie X, réalisé par l'autorité romaine et diffusé surtout en Italie et aussi dans l'ensemble de l'Église catholique en réponse à la crise moderniste.
1934, La Miche de Pain est un catéchisme illustré principalement destiné aux enfants (à partir de quatre ans). Il fut successivement édité par les Éditions La Miche de Pain, puis par Téqui avant d'être repris par Elor. D'abord créé sous forme de fascicules périodiques en 1934, il fut, dès l'année suivante, disponible en reliure. La dernière édition, en trois tomes2 date de décembre 2004 et se présente comme un apprentissage progressif en au moins trois ans ; elle est illustrée par les dessins de Joëlle d'Abbadie3.
1937, Première édition du catéchisme à l'usage des diocèses de France, sous forme questions-réponses, publié par les cardinaux et archevêques français.
1947, Catéchisme national modifié par l'épiscopat français, accompagné d'une édition pour simplifiée (petit catéchisme illustré).
1967, Fond obligatoire, ensemble des orientations catéchétiques pour les auteurs de manuels.
1981, corrigé en 1985 Pierres vivantes, un livre très illustré destiné à accompagner la catéchèse et à compléter les parcours catéchétiques.
1991, Catéchisme pour adultes des évêques de France.
1992, Catéchisme de l'Église catholique, promulgué par le Vatican.
2005, Compendium du CEC, écrit sous Jean-Paul II par le cardinal Ratzinger puis promulgué par Benoît XVI juste après son intronisation. (wikipédia )













lundi 26 janvier 2015

petit paroissien et cathéchisme illustré la miche de pain pour enfants


petit paroissien illustré des enfants
imp Brepols Turnhout belgique

imp Paul Mellottée limoges


 LA MICHE DE PAIN 1934

LA MICHE DE PAIN est un cathéchisme illustré destinée aux enfants
sous formes de fascicules périodiques année 1934
F. TRYBOU  imprimerie saint pierre  Langres
Trés explicatifs , des dessins , et des questions réponses